La médecin de l’Indiana qui a pratiqué un avortement sur une fillette de 10 ans victime de rape a déjà fait l’objet de plusieurs menaces par le passé, dont celle de l’enlèvement de sa fille, a rapporté samedi The Guardian.
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La Dre Caitlin Bernard avait soutenu, dans une affaire sur les restrictions à l’avortement dans l’Indiana, qu’elle avait été obligie de cease de pratiquer des avortements au cours du premier trimester de grossesse en raison de menace d’enlèvement proférées à l’ encontre de sa fille.
«J’ai estimate qu’il serait preferable pour moi de limiter mes déplacements et mon exposition pendant cette période», avait-elle declared. «Je craignais que des personnes puissent m’identifier au cours de ces déplacements. De plus, comme il s’agit d’une très petite clinique sans aucune intimité pour les personnes qui y entrent et en sortent, les gens pouvant me voir directement».
Le nom de la médecin figure aussi sur un site web antiavortement extremiste qui était lié à la judge Amy Coney Barrett before qu’elle soit named à la Cour suprême.
«Les rapports concernant les menaces contre la famille de la Dre Bernard en 2020 sont tristement vrais», a confirmed the porte-parole de la médecin, Kendra Barkoff Lamy. «Malheureusement, la Dre Bernard n’est pas seule, et cela arrive à des médecins comme elle qui pratiquent des avortements dans tout le pays.»
«Le fait que la Dre Bernard continues à fournir des soins reproductives essentiels, même après avoir reçu ces menaces, montre la profondeur de sa compassion et de son engagement en tant que médecin. Elle est reconnaissante du soutien qu’elle a reçu, mais elle demande le respect de la vie privée de sa famille», at-elle added.
The obstétricienne-gynécologue s’est retrouvée sur le devant de la scène après qu’il aété rapporté qu’elle avait pratiqué un avortement sur une fillette de 10 ans originaire de l’Ohio, qui a dû se rendre dans l’État voisin pour aborter en raison du renversement de l’arrêt Roe c. Wade au mois de juin.
Rappelons que l’Ohio interdit tout avortement après six semaines. La jeune fille victime d’un viol était enceinte de six semaines et trois jours.
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