March 22, 2023

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Comité national du parti républicain | Ron DeSantis defies Donald Trump à distance

(Los Angeles) Divided like never before, the republican party must choose a new president on Wednesday in California, at a meeting where Florida governor Ron DeSantis advances his pawns to compete for Donald Trump’s candidacy for the White House in 2024. .


L’hôtel luxueux de la station balnéaire de Dana Point, où sont réunis les 168 members du comité national du parti depuis mercredi, est le nouveau théâtre de la crisis existentiale traversée par le « Grand Old Party ».

Les conservateurs sont à couteaux tirés depuis les elections de mi-mandat rateées en novembre, où la « vague rouge » so much announced n’a pas eu lieu et où les républicains ont échoué à regagner le Sénat : la mainmise de M. Trump, already declarée pour la prochaine présidentielle et lesté par les ennuis judiciaires, est largely remise en cause et le parti se déchire.

Début janvier, les électrons libres trumpistes ont ainsi created une pagaille inédite en plus de 160 ans au Congrès, transformant l’élection de Kevin McCarthy comme « speaker » à la Chambre des représentants en chemin de croix.

Dans ce contexte électrique, la présidente actuelle du parti, Ronna McDaniel, n’échappe pas à la contestation. Aux commandes depuis 2016, cette proche de M. Trump avait toujours été réélue à son poste sans aucune opposition.

Si elle reste favorite, elle doit faire face à deux concurrents : Mike Lindell, un riche patron complotiste fabricant d’oreillers sans grande chance de l’emporter ; et surtout Harmeet Dhillon, une avocate souteune par de nombreux frondeurs républicains anti-establishmentsouvent les mêmes qui ont perturbé l’élection de M. McCarthy au Congrès.

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Depuis plusieurs semaines, Mme Dhillon fait campagne sur le mécontentement de la base après la défaite présidentielle de 2020 et la contre-performance des elections de mi-mandate.

« Il ya beaucoup de changements qui ont besoin d’être réalisés pour que nous soyons en mesure de gagner en 2024 », at-elle declared mercredi au Los Angeles Times, en justifying his candidature à ce poste clé pour organiser la future primaire qui determinara le candidat conservateur à la présidentielle. « Je suis fatiguée que les républicains perdent les elections. »

« Battle of procurement »

Avec ce discours, l’avocate, dont le cabinet a assured la défense de M. Trump face à la commission parlementaire sur l’attaque du 6 janvier 2021 à Washington, joue sur les deux tableaux.

Elle s’adresse à la fois aux conservateurs lassés par l’ex-président, perçu par certains comme « une machine à perdre », et résonne aussi chez les trumpistes les plus extrêmes qui rêvent de renverser la table et de refaire le parti à leur main.

Jeudi, à la evelle du vote, elle sest trouvé un allié de poids : le gouverneur de Florida Ron DeSantis sest pronounce en sa faveur.

PHOTO MARTA LAVANDIER, ASSOCIATED PRESS

En soutenant l’outsider Prisée par les membres les plus extrêmes du parti, le gouverneur de Florida « veut doubler Donald Trump par la droite », la politologue Wendy Schiller.

« Je crois que nous avons besoin d’un changement. Je pense que nous avons besoin de sang neuf au sein du comité national républicain », a estimate le conservateur triumphalement réélu en novembre et perçu comme le potential rival le plus dangereux pour M. Trump dans la course à la Maison-Blanche.

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Une déclaration susceptible de rebattre les cartes du vote à bulletin secret prévédre vendredi, que Ronna McDaniel, présentée comme la favorite de M. Trump par la presse américaine, pensait avoir verrouille – elle assure avoir 100 soutiens, soit bien plus que la majoritye necessaire.

La tambouille interne pour choisir la présidente du parti, se transforme suddenly en « une bataille par procuration entre DeSantis et Trump », observed la politologue Wendy Schiller.

En soutenant l’outsider Prisée par les membres les plus extrêmes du parti, le gouverneur de Florida « veut doubler Donald Trump par la droite », explique-t-elle.

« DeSantis tente de se projeter en futur leader du parti », insist-t-elle. « Il n’y a aucune raison de vouloir peser sur cette élection, à moins que vous n’ayez l’intention de vous présenter à la présidentielle. »

Face à cette rivalry larvée, Donald Trump a ressenti le besoin de se poser en patron jeudi soir : à la evell du vote, il a soirrein dans un communiqué le résultat d’un pollage, qui le donne gagnant face à M. DeSantis lors d ‘une étoile primaire.