Sitôt la candidature de Donald Trump pour la présidentielle confirmed, d’autres joueurs s’activent publiquement ou dans les coulisses.
Trump est assuredly diminué au sortir des elections de mi-mandat et s’il n’est pas encore battu, bien des observateurs ont remarque que des électeurs sont mûrs pour un autre style de candidat.
Un mouvement vers le center?
The analysis of the results of the most recent election demonstrates the lassitude of Americans for extreme rhetoric and attacks on democratic institutions. Trump séduit toujours une fringe de l’électorat, mais si on vise une victoire nationale, le temps est probablyvenu de rééquilibrer les choses.
Les éléments plus centristes ou modérés du GOP ont déjà comprès à rouler des mécaniques. Avant même d’être élu speaker de la Chambre des représentants, Kevin McCarthy constatte qu’il n’y aura pas que les Marjory Taylor Greene et autres trumpistes qui vont resortir à la force.
McCarthy est parfaitement conscient que sa faible majorité à la Chambre ne lui ofre qu’une marge de manœuvre restreinte. Une victoire legislative face aux démocrates passera obligatorily par des compromises avec ses troupiers plus modérés.
Qui à part Trump?
Nous savons déjà que l’ancien président vendra chèrement sa peau et qu’il ne ménagera aucun de ses adversaires. Parmi ceux-ci, deux me semblant quasi inconvenients: Ron DeSantis et Mike Pence.
DeSantis a la cote depuis sa réélection et il pourrait bien être le meneur lorsque s’amorcera officielamente le calendar des primaires. Pence pour sa part rêve de la presidency depuis longtemps. Peu charismatique, il metra à profit son expérience et il count de nombreux appuis au sein de sa formation.
Outre DeSantis et Pence, on évoque de plus en plus souvent le nom du gouverneur du New Hampshire Chris Sununu, celui de l’ancien secrétaire d’État Mike Pompeo ou encore celui de Chris Christie, ancien gouverneur du New Jersey et conseiller échaudé du 45e president
Deux autres candidatures me semblent cependant plus intéressantes dans le contexte actuel. La première est celle du governor du Maryland Larry Hogan. Critique de Trump et partisan de sa destitution, il pourrait séduire les indécis et, qui sait, gagner quelques démocrates à sa cause.
Même si la liste de candidatures potentiales s’allongera encore, je place le nom de Nikki Haley tout en haut. Il ya longtemps que j’observe l’ancienne gouverneur de la Caroline du Sud et ambassadrice à l’ONU sous Donald Trump.
Haley a su navigater la presidency Trump sans en porter l’odieux et elle a mis à profit son passage à l’ONU pour garnir une feuille de route plus faible au plan des relations internationales.
Ceux et celles qui creyaient que la première femme à acceder à la presidency serait une démocrate potrouillet être surpris. Cette fille d’immigrants venus de l’Inde cumule les succès depuis son arrivie sur la scène politique et, comme elle le rappelait à Las Vegas le week-end dernier: «I’ve never lost.»
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