March 22, 2023

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L’impact du torchage du gaz sur le climat est sous-évalué, selon une étude

(Washington) Le torchage du gaz naturel, qui consiste à brûler l’excédent de gaz provenant de puits de pétrole et de gaz, libère cinq fois plus de méthane, un gaz à puissant effet de serre, que ce qu’on estimait aupuravan, selon une étude publiée jeudi dans Science.

Publié hier à 21h28

Issam Ahmed
Agence France-Presse

Result, cette pratique a un impact beaucoup plus important sur le changement climatique avec, entre le torchage de gaz naturale announce et celui effectif à l’échelle des États Unis, un potential de rehautement équivalent à introducing 2,9 million de voitures supplémentaires each année, précis le document scientifique.

A research team led by Genevieve Plant at the University of Michigan took air samples from two sedimentary basins located in Texas, the Permian Basin in the Eagle Ford Shale, and the Bakken Formation in the vicinity — a formation géologique riche en pétrole et gaz — à cheval sur les États du North Dakota et du Montana. Ces zones concentrent à elles seules 80 % des activités américaines de torchage de gaz naturel.

“We used a small plane equipped with extremely sensitive probes that measure the concentration of methane and carbon dioxide in the wind of the torches,” explained the research director to AFP.

« Au cours de cette étude aérienne, nous avons prélevé around 300 distinct samples of air originating from the colonnes de brûlage dans les régions qui ont le plus recourse au torchage de gaz naturel aux États-Unis. »

L’industrie des combustibles fossiles et le gouvernement américain partent du postulate que les torchères brûlant constamente detruisent le methane, le principal composant du gaz naturel, avec une efficacy de 98 %.

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Cependant, l’étude contredit ce taux et l’établit à 91,1 %, soit des émissions de méthane aux États-Unis cinq fois supérieures aux données officiellement publiees.

Impact sur la santé

En se penchant davantage sur ces chiffres, l’équipe de recherche de Geneviève Plant s’est rendue compte que si la plupart des torchères fonctionnaient avec un taux d’efficacy de 98 %, d’autre colonnes brûlage presentent des signes d’sure avait un taux d’efficacy de 60 %, sans compter les 3 à 5 % de torchères éteintes qui rejettent du gaz non consumé dans l’atmospher.

Le torchage du gaz est une activité essentially à perte puisque le gaz naturel brûlé n’est associé à aucun processus productif.

La Banque mondiale estime qu’avec le gaz brûlé chaque année — 144 milliards de mètres cubes — il serait possible d’alimenter en énergie toute l’Afrique subsaharienne.

According to Mme Plant, il existe plusieurs manières d’attenuer les effets de cette méthode. Parmi elles, la réduction du volume d’activité de torchage, l’augmentation de l’efficacyt des torchères ou encore stocker puis réutiliser le gaz pour alimenter en électricité d’autres équipements.

Dans un argumentaire attaché à l’étude, two authors, Riley Duren and Deborah Gordon, explain that l’activité de torchage du gaz a des consequences néfastes sur la santé du demi-million de personnes qui vivent dans un rayon de 5 km autour des trois bassins concerned.

« Les torchères non alummes et celles à la combustion partielle peuvent exposer les populations en première ligne à un mélange de polluants associés qui presente des risques d’effets acutes et/ou chroniques sur la santé », ont explicié les auteurs.

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Methane is a powerful greenhouse gas whose warming potential is more than 80 times higher than that of carbon dioxide in the first 20 years of its entry into the atmosphere, although the dioxide carbone ait une influence plus durable.

C’est pourquoi plus de 120 countries ont signe un accord mondial, le Global Methane Pledge, visant à réduire les émissions de 30 % d’ici 2030.