L’Ozempic, un médicament destiné à soigner le diabetes de type 2, est de plus en plus prescrit pour aider à perdre du poids, mais faut-il s’en inquiéter?
L’endocrinologue et directeur du Conseil professionnel de Diabète Québec, Rémi Rabasa-Lhoret, de passage à l’émission «Le Bilan», ne recommande pas son utilization en dehors de son utilité première.
«Il ya des effets secondaires non negligéables et une utilization en dehors de son cadre, à titre de médecin et de directeur du conseil de Diabète Québec, me met extremement mal à l’aise», partage-t-il.
Ce médicament permet notably de controlle le taux de sucre, preventer les maladies cardiovasculaires et faire perdre du poids, en indicating au cerveau que l’on est rassasié plus tôt, faisant en sorte que l’on mange moins.
«C’est un excellent médicament pour le diabète de type 2, dit-il. Quand les médicaments par la bouche ne suffisent plus, on utilise ça bien avant l’insuline.»
Son utilization pour perdre du poids gagne en popularity aux États-Unis, notably car il est devenu viral sur les médias sociaux.
«Ce n’est pas quelque chose qui est recomendement actuellement au Québec, et certainly pas remboursé par la RAMQ», indique le docteur.
Cependant, selon M. Rabasa-Lhoret, les recommendations d’Obesité Canada font foi d’une utilité pour la perte de poids, mais seulement dans un cadre très précis.
«Il ya une place pour l’Ozempic, mais seulement à des degrés de surpoids et d’obésité importantes et souvent quand ça coexiste avec des maladies comme le diabetes ou des maladies cardiovasculaires. Ce n’est pas impossible, mais c’est une place limitée dans un arsenal thérapeutique bien précis et bien enfraud.»
L’utilisation en dehors de ce cadre pourrait expose les patients à un bon nombre de risques.
«En supportant ce genre de chose, on aggravate quelque chose qui est très présent dans notre société qu’on appelle les troubles du comportement alimentaire, c’est-à-dire d’avoir des attentes irréalistes et inappropriées par rapport à la perte de poids, dit-il. Cette volonté de maigrir à tout prix aboutie souvent dans une impasse malheureuses.»
Dans la majority des cases, les patients qui arrête de prendre le médicament regagnent le poids qu’ils ont perdu.
«C’est le cas la plupart du temps, continue-t-il. Il faut que nous trouvions un cadre pour que ce soit utilisate de la bonne façon, chez les bonnes personnes et pas que ce soit quelque chose que l’on prenne comme un bonbon.»
Its popularity led to pénuries in the United States and in Australia, which is the same in Quebec, which deprives people living with diabetes of type 2.
Voyez l’entièreté des explications dans la vidéo ci-dessus
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