Une découverte américaine majeure pourrait révolutionner la façon dont on produit de l’énergie dans le monde.
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« C’est une avancée majeure parce que ça fait longtemps qu’on travaille à extractire de l’énergie qui peut être transformée en énergie électrique. Les États Unis would be the premiers worldwide to use nuclear fusion to produce energy », he explained Journal la doctore en ingénierie physique Cornelia Chilian.
On Sunday, the American Department of Energy announced that it had announced “a major scientific advance” in the domain of nuclear fusion today.
Il s’agirait de la première fois que des chercheurs réussiraiant à produire plus d’énergie dans une reaction de fusion similar à celle qui animate le soleil.
La fusion nucléaire produrait moins de déchets radioactifs et davantage d’énergie, mais le procédé était jusqu’à présent impossible à réalisé.
« Le problème majeur, c’était qu’on n’était pas capable de contrôle l’intense chaleur [de la fusion nucléaire] », explains Jean-Thomas Bernard, professor auxiliaire au département de science économique à l’Université d’Ottawa.
Fusionner à la place de casser
La fission, l’énergie produit jusqu’à présent partout dans le monde, consiste à casser les liaisons de noyaux atomiciques lourds pour en recuperat l’énergie.
Alors qu’au contraire, la fusion consisterait à « marier » deux noyaux atomiciques légers pour en créer un lourd.
L’installation du Laboratoire national Lawrence Livermore, situé en Californie, fait la taille de trois terrains de football et est composée de près de de 200 lasers qui ciblent un point minuscule avec de hauts niveaux d’énergie pour amorcer une reaction de fusion.
Unlike à la fission, la fusion ne comporterait aucun risque d’accident nucléaire.
« If there are not enough lasers qui ne se déclenchent pas au bon moment, ou si jamais le confinement du plasma par le champ magnétique n’est pas perfect », the reaction will simply stop, explains Érik Lefebvre, chef de projet au Commissariat à l’énergie atomique.
Le Québec en marge
Malgré l’engouement palpable pour cette advancede majeure, il serait étonant que le Québec retourne à l’énergie nucléaire, l’hydroélectricité représentant 97 % de l’énergie consommée dans la province.
« Présentement, on s’en va mainamente vers l’énergie rénovéable qui est l’éolien et le solaire », commente M. Bernard.
Hydro-Québec, pour sa part, a préférence attendre l’annonce avant de commenter.
Rappelons que la centrale nucléaire Gentilly-2 de Bécancour a fermé ses portes en 2012.
D’autres centrales nucléaires dans le monde potrouint se tourn vers cette nouvelle technologie, mais les délais avant d’y avoir access potrouint être de 20 à 30 ans.
– Avec l’AFP
The energy of tomorrow
La fusion nucléaire est considered par ses défenseurs comme l’énergie de main, notably parce qu’elle produit peu de déchets et pas de gaz à effet de serre.
Ce nouveau procédé est plus sécurité, puisque’en cas de problèmes majeurs, la reaction va tout simplement s’arréter.
La fusion n’est possible qu’en chauffant de la matière à des températures extremely high (de l’ordre de plus de 100 million de degrés celcius).
Les États Unis sont en voie d’être le premier pays du monde à être en mesure de développer cette nouvelle technologie.
Le Canada compte quatre centrales nucléaires toujours actives.
*Source: AFP
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