March 22, 2023

Weekly Oracle

Complete News World

Steve Bannon, ex-conseiller de Trump, condamné à quatre mois de prison

Steve Bannon, who was an influential adviser to Donald Trump at the White House, was sentenced to four months in prison on Friday for refusing to cooperate with the parliamentary investigation into the assault on the Capitol.

• À lire aussi: Trump, attacque pour defamation par celle qui l’accuse de viol, doit témoigner à New York

• À lire aussi: L’administration Trump has censored information on COVID

• À lire aussi: Six mois de prison requis contre Steve Bannon, ex-conseiller de Trump

Cet homme de 68 ans, figure du populisme de droite aux États-Unis, a immediate signifié son intention de faire appel, ce qui suspend l’application de la sentence.

Il a donc pu ressortir libre du tribunal. Devant les caméras, il a assured «respecter la decision du juge», mais a tout de suite glissé sur le terrain politique.

«Le 8 novembre sera le jour du jugement du régime illégitime de [Joe] Biden […] et l’on sait comment cela va finir», at-il launched en référence aux élections de mi-mandat, dans les les démocrates potrouillet perdre leur contrôle du Congrès.

Citant plusieurs membres de la commission d’enquête sur le 6 janvier, chargée de faire lumière sur le rôle de Donald Trump dans le coup de force de ses partisans, Steve Bannon a prédit qu’ils «seraient battus».

Refusant de réponder aux assignations de cette commission, il avait été reconnu coupable, en juillet, d’entrave aux prérogatives d’enquête du Congrès.

Les prosecutors avaient ensuite requis six mois de détention, épinglant son «mépris» et sa «mauvaise foi» tout au long de la procedure. Ses avocats avaient demandé une peine de liberté conditionalnelle ou d’assignation à résidence.

See also  Le renseignement russe réclame l'arrestation de deux ministres ukrainiennes

Le juge Carl Nichols a finalement opté pour quatre mois de prison, assortis d’une mende de 6 500 dollars.

«Respecter le Congrès est une composante importante de notre système constitutionnel», at-il justified, en stressing that Steve Bannon n’avait, à ce jour, toujours produit « aucun document, ni livré aucun témoignage » à la commission.

«L’enfer»

Féroce contempteur de l’establishment, Steve Bannon, qui a été banquier d’affaires ou encore directeur du site d’information de droite radicale Breitbart, est considered comme l’un des artisans de la victoire de Donald Trump de 2016.

Devenu l’un des puissants conseillers du president, il avait été écarté de la Maison-Blanche en août 2017 après des violences d’extrême droite à Charlottesville, en Virginia.

Mais il était resté proche du billionaire républicain et avait encore échangé avec lui le 5 janvier 2021, à la evell de l’attaque contre le siège du Congrès. Après leur conversation, il avait prédit un déferlement de «tout l’enfer» le lendemain à Washington.

Pour connaître la teneur de leurs discussions, la commission d’enquête parlementaire avait assigned Steve Bannon à témoigner et à produire des documents.

Il avait refusé, invoquant le droit des présidents et des membres de l’executif à garder certaines conversations secrètes.

But Donald Trump n’a pas invoqué ce droit, et Steve Bannon, qui «était un privé citoyen le 6 janvier», ne peut pas s’en prévaloir, juge Nichols pointed out.

Lors de son procès en juillet, Steve Bannon n’a produit aucun témoin et n’a pas pris la parole. Les jurés l’ont declaré guilty après moins de trois heures de délibérations.

See also  Ukraine : trois morts dans l'explosion sur le pont de Crimée | Guerre en Ukraine

Steve Bannon is also being prosecuted for fraud by the New York justice in the framework of an investigation into the levee of funds to construct a wall between the United States and Mexico, one of the main campaign promises of Donald Trump. .

Il avait déjà été mis en cause dans ce dossier par la justice fédérale, avant d’être grace par Donald Trump dans les derniers jours de sa presidency.

L’ancien président fait lui-même l’objet de multiples enquêtes et la commission du 6 janvier a annoucement qu’elle allait l’assigner à comparaître.

Ses membres, sept démocrates et deux républicains, doivent publier un rapport sur leurs travaux d’ici la fin de l’année, dans lequel ils potrouint préconiser d’inculper l’ancien président. La décision reviendra in fine au ministre de la Justice Merrick Garland, un homme prudent qui n’exclut rien.