Le chef d’état-major des armées britanniques, l’amiral Tony Radakin, s’est inscrit en faux dimanche contre des rumeurs concernant la santé du président russe, Vladimir Putine, ou la possibilité qu’il puisse être assassiné.
«Je pense que certains commentaires sur le fait qu’il [Poutine] ne soit pas en bonne santé ou qu’il finisse par se faire assassiner, eh bien je pense que ce sont des vœux pieux», a declarée vendredi sur la BBC M. Radakin, dans une interview publiée dimanche.
Les rumeurs sur la santé de Vladimir Poutine, qui aura 70 ans en octobre, sont verifiables.
«En tant que professionales militaires, nous voyons un régime relatively stable en Russie, le president Putine a été en mesure d’étouffer toute opposition. […] et personne au sommet n’a la motivation de le défier», at-il soutenu.
According to him, «le défi que pose la Russie va durer» potentially pending «des deciennes en matière de menace», et le premier ministre qui cécédera à Boris Johnson, demissionnaire, devra être conscient que la Russie est «la plus grande menace» pour le Royaume-Uni.
M. Radakin affirmed à la BBC that l’armée ukrainienne était «absolument» convinced qu’elle allait gainner la guerre déclenchée par l’invasion du pays par la Russie en février.
According to the estimates of the British army, Russia «has lost more than 30% of its effectiveness in land combat».
«Cela signifie que 50 000 soldats russes sont morts ou ont été blessé dans ce conflit, que près de 1700 chars russe ont été détruit, que près de 4000 véhicules armored appartant à la Russie ont été détruit», affirmed M. Radakin.
The situation in Ukraine will dominate the military accounts of the future prime minister, who will replace Boris Johnson in September. «Et alors nous devrons rappeler au premier ministre l’extraordinaire responsabilité qu’il avec le Royaume-Uni en tant que puissance nucléaire».
M. Radakin a par ailleurs été interrogé sur une enquête de la BBC, qui a révélé cette semaine qu’un commando des Special Air Service (SAS), les forces spéciales britanniques, avait tué au moins 54 personnes dans des circonstances suspectes en Afghanistan, des faits dissimulés par leur hiérarchie.
La police militaire a déjà établi que «cela ne s’est pas produit», mais elle réexaminera la question si de nouvelles preuves concrètes apparante, a balayé M. Radakin.
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