Or, ce fait était bien connu à l’époque de l’homologation du vaccin et il n’a jamais été question de tester son effet sur la transmission au moment de le faire approuver, selon des experts. Cela dit, des études plus récentes démonstrent qu’il réduit efficaciously la transmission.
ALERTE : Lors d’une audience sur la COVID, une directrice de Pfizer admitted that the vaccine has never been tested to prevent transmission. “Faites-vous vacciner pour protecter les autres” a toujours été un mensonge. La seule raison pour laquelle des passeports vaccinaux ont été imposé : pour forcer les gens à se faire vaccinaire. La planète doit le savoir. Share this video!
C’est ce qu’on peut lire dans un tweet de l’eurodéputé nerlandais Rob Roos. Dans la vidéo qui accompagne ce gazouillis, M. Roos interroge Janine Small, une representante de Pfizer, devant un committee du Parlement européen.
J’ai une shorte question pour vous, pour laquelle j’aimerais une réponse claire. Je vais parler en anglais pour qu’il n’y ait pas de malentendu. Est-ce que l’efficacy du vaccine contre la COVID de Pfizer pour réduire la transmission a été testée avant sa mise en marché?
demande M. Roos.
En ce qui concerne la question de savoir si nous étions au courant que le vaccin empêchait l’immunisation [sic] avant son entrée en marché, non
replied Mme Small en riant.
Vous savez, nous devions aller à la vitesse de la science pour vraiment comprendre ce qui se passait dans le marché.
Dans la vidéo, M. Roos added: Je trouve que c’est shocking et même criminel.
In less than 24 hours, the video has been viewed over 10 million times on Twitter. D’innumerable articles, videos and publications on tous les réseaux sociaux ont relayé cette information dans de nombreuses langues.
Plus près de chez nous, the head of the Parti populaire du Canada (PPC), Maxime Bernier, shared the video. LES CAMPAGNES DE VACCINATION ÉTAIENT FONDÉES SUR UN MENSONGE. Pfizer n’a jamais testé son “vaccin” pour savoir s’il empêchait la transmission. Nous croyez-vous maintenant?
at-il écrit mardi après-midi.
Le compte Twitter officiel du Parti conservateur du Québec a emboîté le pas. Pfizer was admitted to the European Parliament [sic] that the vaccine has never been tested to prevent the transmission of the virus. Ce qui nous amène à la question suivante : à quoi servait le passeport vaccinal?
a écrit le parti mardi soir.
Yet, les experts que nous avons contactés n’y voient aucune grande révélation : c’était une information bien connue à l’époque de la mise en marché du vaccin Pfizer. D’ailleurs, dans un communiqué de la FDA (Nouvelle fenêtre) Américaine diffused au moment d’accorder une autorisation d’urgence pour le vaccine Pfizer, le 11 décembre 2021, les autorités américaines ne pouvant pas être plus claires.
Il n’y a aucune donnée qui permet de determinaire que le vaccine prévient la transmission du SRAS-CoV-2 [le virus à l’origine de la COVID] d’une personne à une autre
peut-on lire dans ce communiqué.
Dans un autre communiqué de la FDA (Nouvelle fenêtre)celui-ci publié plus tôt, en mai 2021, même chose : En ce moment même, nous ne possesdons que des données limitées à savoir si le vaccine peut empêcher la transmission d’une personne à une autre.
Une question de protocole des études cliniques
According to Dr Alain Lamarre, expert in immunology and virology at the Institut national de la recherche scientifique (INRS), the question of the deputy was oriented to produce a shocking response, and the video presents the information carrément trompeuse.
En effet, les études cliniques sur le vaccine Pfizer avant sa mise en markete concernaient son efficacité pour empêcher une personne vaccinée de développer la forme grave de la COVID et non pour réduire sa transmission, explique-t-il.
C’est trompeur de montrer ça comme quelque chose qui a été caché ou quoi que ce soit. La première étude clinique de Pfizer, et c’est pareil pour Moderna, c’était bien compris que le protocole d’étude clinique avait été mis au point pour regarder les événements symptomatiques. Le but n’était pas de regarder les cases asymptomatiques, donc la transmission potentielle
assure-t-il.
Il ajoute que des études pour determinaire si le vaccin pouvait empêche la transmission de la COVID would have been clearly more complex and retarded. pendant des années
la mise en marché du vaccin dans le contexte d’une crise sanitaire qui était alors à son paroxysme.
« Ce n’était pas caché du tout, c’était bien clair, et à l’époque, ça n’avait pas été considered comme étant la priorité numéro un. C’était vraiment de réduire les symptoms et les hospitalizations. »
Même son de cloche chez Benoît Barbeau, professor au Département de sciences biologiques de l’UQAM et spécialist en virologie. À l’époque de la mise en marché des vaccines, la priority était d’étudier l’efficacy pour protecter des symptoms et non pour réduire la transmission, renchérit-il.
D’ailleurs, M. Barbeau ajoute que si des études n’avaient pas été menées à l’époque pour mesurer l’effet des vaccines sur la transmission, plusieurs ont été publiés depuis.
Ce n’est pas parce qu’une compagnie pharmaceutique n’a pas mené des études qui visent à demonstrer que le vaccin bloque la transmission que ça veut dire que le vaccin ne le fera pas
illustre-t-il.
Dès trois ou quatre mois après l’homologation [du vaccin Pfizer].
ajoute M. Lamarre.
Un effet déjà connu
De plus, les deux experts sont d’accord pour dire que même si Pfizer navait pas etudie l’efficacyt de son vaccin pour réduire la transmission, l’idée quil aurait probabilite un effet salutaire ne sortait pas nulle part.
On avait des données d’autres infections qui démontraient clairement que si on prévient les symptomatic infections, eh bien, en général, ça veut dire quon réduit la charge virale chez les gens vaccinés, et en faisant ça, on réduit le risque de transmission, explique-t-il. On ne se basait pas sur rien. On avait des données pour d’autres respiratory infections.
Ça ne veut pas dire que tout est baso sur ces premiers tests et que le passeport vaccinal était complètement baso sur aucune donnée. On avait quand même des données qui démontraient qu’il y avait une protection contre le risque d’être infecté
ajoute M. Barbeau.
Pour le Dr Alain Lamarre, il faut aussi prendre en consideration le fact that the vaccine Pfizer has been homologué dans un tout autre contexte sanitaire.
À cette époque-là, c’était très clair qu’on protégeait les autres [en se faisant vacciner]. Aujourd’hui, avec les nouveaux variants, la protection contre l’infection a diminué par rapport à ce qu’on avait à cette époque-là. But it protects a certain part of the transmission. Pas completely. Il n’y a jamais rien de 100 % en biologie. Mais c’est encore vrai que ça protège encore de la maladie et de la transmission
dit-il.
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